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Test

Les ti-bouttes de cire

Des ti-bouttes de cire par là et par ici… 

Chez moi, il y en a partout !!! 

On a décidé aujourd’hui de s’amuser à les transformer. 

Nous avons passé un bon 30 minutes à les classer. Ensuite, sans blague, un gros 45 minutes à enlever leur papier. On aurait pu les faire sous l’eau. Le processus aurait été plus facile, mais mon garçon était bien heureux et ça l’a occupé. 

 

C’est vraiment simple…

On utilise les crayons de cire brisés, on les place dans des moules en silicone. Comme nous étions un peu limité à ce niveau, j’ai utilisé mes moules à muffin, mais je suis certaine qu’il y a plusieurs moules en silicone super cute. D’ailleurs, le refaire, j’utiliserais des moules plus petits, c’est plus facile à manipuler pour les enfants lorsqu’ils dessinent. Par contre, opter pour des moules toujours en silicone. J’ai essayé avec des moules de dinosaures en plastique et ce fut une belle erreur…

 

Les étapes: 

1- On trouve nos ti-bouttes et on retire le papier.

 

 

 

2- On les installe dans un moule en silicone. 

3- 

Les enfants et les adolescents sont davantage vulnérables face au stress, car leur cerveau est encore immature et s’y adapte moins bien. Pour l’étudiant qui vit souvent du stress, cela veut dire : avoir des difficultés d’attention, avoir du mal à mémoriser l’information et se sentir facilement débordé ou irritable.

À long terme, si une personne vit trop de ces stresseurs, son cerveau cherche à modifier sa sécrétion de cortisol pour mieux s’adapter à son style de vie. Or, cela entraine parfois des problématiques telles que la dépression, l’épuisement, la fatigue chronique, sans parler des problèmes de santé physique qui s’y rattachent. Éventuellement, cela pourrait aussi mener à un trouble anxieux. Le tiers de nos jeunes va d’ailleurs vivre un épisode important d’anxiété.

Le stress et l’anxiété : un résumé

On parle d’anxiété lorsque je crains un danger. Cette peur est favorable à ma survie lorsqu’il y a réellement une menace. C’est lorsque mes inquiétudes deviennent excessives que le trouble anxieux fait son apparition. J’ai alors tendance à modifier mes comportements pour éviter ce que je redoute. Ce qui peut vite devenir un frein à mon plaisir au quotidien. Je dois donc prendre des bons moyens dès maintenant pour apprendre à gérer sainement mon stress et mon anxiété!

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Logo Gabrielle Gosselin-Guay, neuropsychologue - Collaboratrice | Gekko Éducation

L’autrice

Gabrielle Gosselin Guay

Gabrielle est neuropsychologue passionnée qui souhaite aider les enfants, les ados et même les adultes à mieux se comprendre en leur expliquant comment leur cerveau fonctionne et l’impact que cela peut avoir dans leur vie.

“ Ensemble vers l'adaptation des enfants! "

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Solidarité par ces temps difficiles…

Solidarité par ces temps difficiles

Naples hubert-maman

Il y a deux ans nous étions ici… Vous n’avez pas idée à quel point j’aimerais y être. J’aimerais pouvoir offrir ce cadeau à Hubert, lui faire découvrir cet endroit qu’on adore. Je sais qu’il y serait si bien et qu’il s’amuserait tellement… Ok, c’est toff! On va se dire les vraies affaires : à l’aube de Noël…9000 cas annoncés pour aujourd’hui… nos plans de Noël qui changent et ne tiennent qu’à un fil, moi aussi j’ai le goût de tout lâcher… 

Les ressources... des travailleurs qui souffrent

MAIS ce qui me fait continuer, c’est quand je pense aux gens qui sont [littéralement] au combat contre la covid. Tsé, ceux qui travaillent 60 heures, qui tiennent la main de patients qui donnent leur dernier souffle, qui soignent nos proches et les personnes qu’on aime… Je pense à ces travailleurs au front qui souffrent énormément, qui travaillent des heures inimaginables pour arriver à répondre aux besoins actuels… Je me souviens quand ma grand-mère fut admise en CHSLD, nous étions surpris que ce soit aussi rapide, car il y a plusieurs critères pour y être admissible. À l’époque [on parle d’il y a 6 ans], les services étaient déjà restreints et les places limitées. Et pour travailler dans le public [milieu scolaire] depuis longtemps, ça ne date pas d’hier qu’on manque de ressources partout. Ce ne sont pas des salades, ces personnes souffrent et le manque de ressources est réel.

L'empathie collective ?

Peu importe le pourcentage de morts, il y en a. Ce sont des milliers de familles en deuil, leur peine est bien réelle, croyez-moi! On mérite tous qu’on se batte pour que plusieurs puissent rester en vie, ça pourrait être toi ou tes proches, tsé. Le stade de la pensée magique de « Ça n’arrive qu’aux autres » est dépassé. Puis, « les autres » sont de VRAIES personnes et de plus en plus proches de nous…L’empathie collective pour lutter contre cette pandémie, la cohésion sociale et l’action de tous sont des facteurs primordiaux pour qu’on y arrive…
Je suis tannée moi aussi, j’ai besoin d’un break… ce n’est pas facile.. ce ne fut pas un automne facile.

Les décisions du gouvernement

Puis oui, je te l’accorde, le gouvernement ressemble un peu à mes parents, quand ils m’enseignaient à conduire: « avance, recule, lâche la pédale, mais pas trop…ok accélère oups… on arrête! On repart ». Hey… c’est ça la vie! Ce n’est pas une ligne bien droite… Mes suivis ressemblent aussi à ça. On fait des progrès, on régresse, tout le monde capote…on remet des moyens en place et on respire à nouveau. Ce n’est pas linéaire! Fack moi, ça ne me choque pas. Je suis habituée à dealer avec les chemins tumultueux. Ils font ce qu’ils peuvent dans cette situation inusitée. 

Négativisme en ligne

Je vais vous dire bien franchement ce qui me tanne par-dessus tout, c’est le négativisme en ligne. Surtout, celui qui contient un gros manque de respect…j’ai du mal à comprendre ce qui peut te passer par la tête pour vouloir être si méchant… ‘’Salut! Il y a des gens derrière les écrans!’’ Être fâché ou triste, c’est légitime, garde ton énergie pour l’exprimer de la bonne façon, ce sera beaucoup moins nocif à ta santé mentale et à la mienne. Omicron n’était pas invité juste avant les vacances de Noël…Nul part !! Maintenant que c’est clair pour tout le monde, concentrons-nous plutôt sur la santé mentale de notre population. 

La santé mentale des québécois

J’utilise  [tous les intervenants utilisent] l’analogie du verre pour comparer la santé mentale. Si ton verre est toujours plein, tu n’arriveras pas à gérer les imprévus ou les changements du quotidien… Bien, je pense que le verre collectif de la population québécoise déborde….On a tous un rôle à jouer : choisissons l’empathie collective, choisissons la bienveillance, choisissons de nous soutenir mutuellement, choisissons le respect… On a tout à gagner d’investir dans la santé mentale de la population québécoise! Une population saine, c’est une population plus prévisible, plus en santé, plus disponible et plus positive. Je n’ai pas de solutions miracles, mais je pense qu’on détient une mauzusse de belle cible.

La clé du bonheur: les petites choses quotidiennes et les enfants.

 Pour revenir au début de mon message, j’ai montré la photo à Hubert et je lui demande « Aimerais-tu ça aller à cet endroit? » Il me dit « Non, je veux faire de la tomboler » son petit mot d’amour pour dire de la pâte à modeler. Tous les jours, c’est son « best day ever ». Merci coco de me ramener à l’essentiel. 

 

Sur ces paroles, faites de la pâte à modeler avec vos enfants….c’est ça, la recette du bonheur! Je vous souhaite de joyeuses fêtes, différentes, mais ça reste Noël, youppi ! Psst: aucun commentaire négatif ne sera toléré!! Ici, c’est de la solidarité que je veux. Merci ✌🏼 Élisabeth 

L’autrice

Élisabeth Dion

Élisabeth est psychoéducatrice et fondatrice de Gekko Éducation. Avec sa variété d’expérience et sa créativité débordante, elle souhaite aider le plus grand nombre d’enfants grâce à ses outils ludiques, empreints d’humour et qui plaisent autant aux enfants qu’à leurs parents!

“ Ensemble vers l'adaptation des enfants! "

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Le stress et l’anxiété dans mon cerveau

Le stress et l'anxiété dans mon cerveau - Blogue - Neuropsychologie | Gekko Éducation

Le stress et l'anxiété dans mon cerveau

Le stress et l'anxiété dans mon cerveau - Blogue - Neuropsychologie | Gekko Éducation

Alors que l’on parle souvent du gros méchant stress, on oublie parfois de se souvenir que cette réaction du corps nous sauve aussi la vie dans quelques contextes. Eh oui, le stress permet aussi de répondre adéquatement à une menace perçue dans l’environnement, qu’elle soit réelle (ex. : une voiture qui fonce sur moi) ou hypothétique (ex. : je vais échouer mon examen).

Qu’est-ce qui se passe dans mon cerveau en situation de stress?

Le cerveau se met alors en action par une série de messagers internes afin de produire l’adrénaline, puis le cortisol. Ceux-ci affectent le corps qui réagit en mobilisant une grande quantité d’énergie. Le but de cette réaction en chaîne étant d’être adéquatement armé pour s’attaquer au danger ou de le fuir.

 

C’est à ce moment que l’on ressent les symptômes physiques du stress (cœur qui palpite, souffle court, transpiration abondante, tremblements, papillons dans le ventre, mal de tête, etc.). Pendant ce temps, dans le cerveau, l’attention se dirige presque exclusivement sur la source de stress. Ce processus pourrait être aidant si une voiture fonce sur moi et que je dois courir vite jusqu’au trottoir. Il pourrait aussi me motiver à m’installer devant mes livres d’école et me concentrer sur ma révision sachant que l’examen approche.

 

Cependant, toute cette énergie mobilisée vers un objectif bien précis a un coût à payer. Les ressources cognitives étant limitées, le cerveau monopolise beaucoup d’énergie à s’ajuster devant ce stress. Il n’y a alors plus de place pour traiter « le reste ». Si je ne peux être attentif « au reste » de ce qui m’entoure, je n’arrive pas à l’enregistrer ni à m’en souvenir après. L’impact cognitif du stress se fait donc ressentir dans la vigilance, la mémoire et la régulation des émotions.

Pourquoi les jeunes sont vulnérables face au stress

Les enfants et les adolescents sont davantage vulnérables face au stress, car leur cerveau est encore immature et s’y adapte moins bien. Pour l’étudiant qui vit souvent du stress, cela veut dire : avoir des difficultés d’attention, avoir du mal à mémoriser l’information et se sentir facilement débordé ou irritable.

 

À long terme, si une personne vit trop de ces stresseurs, son cerveau cherche à modifier sa sécrétion de cortisol pour mieux s’adapter à son style de vie. Or, cela entraine parfois des problématiques telles que la dépression, l’épuisement, la fatigue chronique, sans parler des problèmes de santé physique qui s’y rattachent. Éventuellement, cela pourrait aussi mener à un trouble anxieux. Le tiers de nos jeunes va d’ailleurs vivre un épisode important d’anxiété.

Le stress et l’anxiété : un résumé

On parle d’anxiété lorsque je crains un danger. Cette peur est favorable à ma survie lorsqu’il y a réellement une menace. C’est lorsque mes inquiétudes deviennent excessives que le trouble anxieux fait son apparition. J’ai alors tendance à modifier mes comportements pour éviter ce que je redoute. Ce qui peut vite devenir un frein à mon plaisir au quotidien. Je dois donc prendre des bons moyens dès maintenant pour apprendre à gérer sainement mon stress et mon anxiété!

Logo Gabrielle Gosselin-Guay, neuropsychologue - Collaboratrice | Gekko Éducation

L’autrice

Gabrielle Gosselin Guay

Gabrielle est neuropsychologue passionnée qui souhaite aider les enfants, les ados et même les adultes à mieux se comprendre en leur expliquant comment leur cerveau fonctionne et l’impact que cela peut avoir dans leur vie.
 

“ Ensemble vers l'adaptation des enfants! "